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D
DAUMER,
?
En 1513, à Saint-Marcan, Julien DAUMER, sieur delà Villez-Dùe,
jouit de la métairie du Prest.
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DAUPHIN,
De gueules au dauphin couronné d'argent, accompagné de trois roses de même
(arm. 1696).
LE DAUPHIN , sr du Porzou, paroisse de Plounez, de Trorozec près
Paimpol, de Kerbellec, de Kerhamon. Déb., réf. 1670, ress. de Saint-Brieuc.
En 1480, à DOL, dans la liste des feudataires (teneurs de fief) des Evêchés de Saint-Malo et DOL, Jehan DAUPHIN : porteur d'une brigandine,
comparaît armé d'une jusarme.
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DAVY
D'argent à la
croix alésée d'azur, accompagnée en chef d'une coquille saint jacques de gueules
et en pointe de deux croissants du premier email.
Sieurs de Villée, de Legreville, de la Begotière, famille de Saint-Georges de
Gréhaigne.
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DELEPINE FALAISE
(de L'EPINE) voir ESPINE (De L')
D'or à l'écu en
abyme à l'orle de huit merlettes de gueules.
La
Folle-Ville et Ville-Mauri-Halouze, en 1780, à M. De L'EPINE FALAISE.
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DELORME,
(voir De LORME)
D'or à un orme de sinople,
fruité de sable, sur une terrasse de gueules, accosté de deux mouchetures
d'hermine et surmonté d'un lambel à quatre pendants de gueules.
Nom de famille
répandu en Haute-Bretagne. Sieurs de la Couaplais, de la Villedolé, pays dde DOL.
En
1500, Possédait La
Coretigère, paroisse de Roz-Landrieux.
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DEMINIAC,
De gueules à
l'aigle bicéphale d'argent accompagné de sept billettes d'argent quatre en chef
et trois en champagne.
Nom de famille des
anciens Evêchés de Saint-Malo et De DOL, des titulaires à Saint-Maugan et à Caro
en 1425, un anobli par le duc à Médréac en 1448, et un comparant en Trévérien en
1513 (Des Salles, p. 14, 50, 64, 125) ; Guillaume DEMINIAC, recteur de Lanhelen en
1639, et Jean, de Langan, en 1744 (Pouillé de Rennes, V, 36, 53; VI, 599) ;
Maître François-Marie DEMINIAC, procureur dDe DOL, y ayant trois fils, de 1788 à 1792 ;
noble homme Pierre DEMINIAC de la Favrais, mort avant 1787 ; et noble homme Julien
Pierre DEMINIAC de la Haute-Dibois, y ayant un fils en 1789 (Pâris-Jallobert. DOL, p.
46); François DEMINIAC , recteur de Mont-Dol en 1843 et d'Antrain en 1858 (Pouillé de
Rennes, IV, 34; V, 269, et Sem. rel. de Rennes, 1,154) ; et un conseiller
général d'Ille-et-Vilaine de 1852 à 1875. (Kerviler).
Un administrateur
dolois, maire et notaire, à qui le boulevard DEMINIAC a été consacré.
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DENOUAL,
DENOUAL, denoal ou Donoal.
Nom d'homme et de
famille très ancien en Bretagne, et qu'on rencontre, dès le XIe siècle, dans les
chartes relatives à l'abbaye de Saint-Georges de Rennes, notamment en 1032,
1068, 1077, 1115, 1130, 1152, etc. (Cart. de l'abbaye de Saint-Georges, publié
aux Mém. de la Société archéologique d'I et V, 1875, t. IX). Le fondateur du château de
Montmuran, près Tinténiac, portait ce nom vers la même époque (Voir Du Paz et
Albert Le Grand) et on le trouve répandu, surtout depuis le XV e siècle, dans
tout le territoire des environs de Bécherel, de l'archidiaconé de Dinan et dans
la région du nord de l'ancien diocèse de St-Malo. Les DENOUAL de la Biliais et
du Plessis, en Saint-Brieuc des Ifs, Plouasne et Longaulnay, portant « d'azur
à 2 merlettes d'argent, accompagnées on chef de 3 étoiles et eu pointe d'un
croissant, le tout d'or » se désistèrent de leurs prétentions à la noblesse
le 13 septembre 1668, reçurent du roi des lettres de maintenue en 1749, et ont
produit un chevalier de l'Empire en 1808; et les DENOUAL de Bourgneuf à Rennes, les
DENOUAL du Boisbilly à Saint-Malo, et les DENOUAL de la Hays aux Ifs, furent déchirés
usurpateurs et déboutés, le 28 juin 1669. Paris-Jallobert cite
en DOL, maître Julien DENOUAL du Prévert, père de 4 filles depuis 1604 ; maître
Pierre DENOUAL de la Ville-aux-Dupuy, marié en 1642 avec Laurence Lecourt, de Dinan
; Jean, prêtre choriste de la cathédrale, inhumé en 1673; Jean-Baptiste DENOUAL, de
Meillac, marié en 1747, à Julienne DENOUAL des Ifs, fille de Jean-Charles, ci-dessus
cité ; Olivier-Mathurin DENOUAL. de la Biliais, ancien capitaine d'infanterie,
capitaine des gardes-côtes, père de 5 enfants, la plupart nés à Lanhélen, parmi
lesquels François-Charles, marié en 1791 à Henriette DUPUY (DOL, p. 42, 43,
145). (Kerviler). DENOUAL, Jean Baptiste Marie Aimé, docteur en médecine, maire
de DOL, en 1789.
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DERVAL (De), Jean III de
Malestroit-Combourg, Baron de Derval, inhumé à la Vieuxville,
Ecartelé ; aux 1
et 4 : de Bretagne coupé de Dreux ; aux 2 et 3 : d'argent à deux fasces de
gueules -(sur un sceau de 1282).
Écartelé au 1 et
4 d'argent à deux fasces de gueulle, contrescartelé de Bretagne.
Baron
dés l'an 1451 sous le règne du Duc Pierre. Porte contrescartelé de Bretagne
comme étant issu au rapport du Père du Paz, d'un Comte de Nantes descendu en
ligne direct et masculine des anciens Rois, ducs et Princes de Bretagne.
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DESRIEUX François,
détails
Sieur de la
Cour-Baugé, marchand de drap à DOL (décédé en 1728).
D'or à six carreaux, trois
d'azur rangés en chef, deux de gueules en fasce, un de sinople en pointe,
Enregistrées
le 3 juillet 1699.
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DESRIEUX,
D'azur
à trois têtes de mores d'argent.
Sieurs du Tertre Ychot et des Rabines. Alexandre DESRIEUX du Tertre-Ychot; Guy DESRIEUX de la Rabine; Gilles DESRIEUX
de la Colleterie; Alexandre DESRIEUX de l'Espinay, à Carfantain au XVIIIe.
François Louis
DESRIEUX de la Turrie, maire De DOL en 1758, subdélégué de l'Intendant en 1763, député aux Etats en 1766; Pierre Olivier DESRIEUX, curé de Notre-Dame de DOL en
1692; Julien DESRIEUX de la Colleterie, procureur fiscal de l'Abbaye de la
Vieuville, capitaine de la milice bourgeoise de DOL en 1737 et son frère Michel
Joseph DESRIEUX recteur du Crucifix de DOL (1720-1734); Pierre DESRIEUX,
chapelain de Saint-Broladre en 1754;
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DEVEZAC,
?
En 1513, à Pleine-Fougères, Gilles DEVEZAC, sieur de Vauvunière,
fils mineur de feu Jehan DEVEZAC, noble.
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DIABLE (Le),
D'argent à trois coquilles de
sable.
Alias : Deux channes et une molette.
Sieur de la Diablerie, paroisse de La Fresnais - de La Diablerie paroisses de Bonnemain et d'Epiniac. Cette famille a pris le nom de Marie. Les armes sont
aussi représentées sur le retable de l'église d'Epiniac par trois chaudrons,
famille MARIE de LA HIGOURDAIS ; son nom était précédemment
En
1480, à La Fresnais, dans la liste des feudataires (teneurs de fief) des Evêchés
de Saint-Malo et DOL, les héritiers Guillaume ou Guyon LE DEABLE (40 livres de
revenu) : défaillants.
En
1513, A La Fresnais, Olivier LE DIABLE et Jeanne-Georgette, sa femme, possèdent
le manoir de la Diablerie, qui fut à Guillaume LE DIABLE; Jeanne LE DIABLE,
damoiselle, possède terres en roture.
Le Diable
de la Higourdais. En 1430 cette famille changea de
nom et remplaça celui du Diable par le prénom de la Vierge.
Thomas LE DIABLE, vivant en 1420, père de Jean, marié en 1465 à Isabeau De LA MOTTE. (PdC).
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DIBART,
D'argent à trois têtes de maure de sable, tortillées et couronnées d'or,
comme Téton.
DIBART, sr de la Chesnaye, paroisse de Gaël, de la Pyrie,
paroisse du Hinglé, de la Villetanet, de Grillemont.
Anc. ext. réf. 1668, huit gén., réf. et montres de 1440 à 1543, paroisse de
Gaël, Caulnes et le Hinglé, évêchés de Saint-Malo et DOL. Jean, écuyer dans une
montre reçue à Dinan en 1378; Colin, notaire-passe à Gaël en 1440, père de
Josselin, époux en 1460 de Marie Gastel. Un volontaire au combat de Saint-Cast
en 1758.
A Le Hinglé, Evêché de DOL, en 1513, Jehan DIBART, sieur de la
Pirie, fils de Julien DIBARD, possède le manoir de la Pirie et celuy de la Noë.
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DIEPPES
?
Nom d'une ancienne
famille des environs De DOL,
François DIEPPES de
la Villaufray, originaire de Cancale, père de Charles DIEPPES de la Pichardiére,
père lui-même de Pierre DIEPPES, né à DOL en 1670 ; noble homme
Aristide-Hyacinthe DIEPPES, de Saint-Marcan, marié à DOL en 1714 ; Marguerite, de Mont-Dol, mariée en 1745. et Thérèse DIEPPES de la Pichardiére, mariée en
1748 (Paris-Jallobert, DOL, p. 46 ; Saint-Malo, 1,323). (Kerviler)
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DIOU
(LE),
?
A Plerguer, en 1513, Jean LE DIOU, fils Roland LE DIOU, possède le manoir de la
Hirebechaye.
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DOL (De),
Fuselé de gueules et d'hermines
(qui est Dinan)
Alias : Ecartelé d'argent et de gueules.
Nom d'une ancienne
famille qui l'avait emprunté à l'importante seigneurie, siège de l'évêché de DOL, voisin de Saint-Malo, et qui se fondit au XIe siècle dans
DINAN dont une branche reprit le nom, porté aussi par les De SOLIGNE et les De TINTENIAC.
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DOUART,
De gueules au chevron d'or,
accompagné de trois molettes de même.
DOUART , sr de la Morinais, — de la
Renaudais, — de la Choltière.
Ext., réformations 1671, trois générations, et maint. au conseil en 1700,Ressor
de Rennes.
Louis, secrétaire du Roi en 1602; François son fils, secrétaire du Roi en 1649,
épouse Jeanne REGNAULT; François, sénéchal De DOL en 1670. |
DOUAULT,
?
Dans la liste des feudataires (teneurs de fief) des Evêchés de Saint-Malo et DOL en 1480, à DOL, les héritiers de Thomas ou Thébault DOUAULT
(60 livres de revenu) : défaillants.
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DOUBIERER
(Le),
D'azur à une tour crénelée
d'argent, accostée de deux grues de même pendues par le bec aux créneaux de la
tour. LE DEOUBIERER, sr de Glivéry, paroisse de Lanmeur.
Réformations et montres de 1427 à 1481, paroisse de Lanmeur, évêché de DOL, enclaves deTréguier. |
DAUMER,
?
En 1513, à Saint-Marcan, Julien DAUMER, sieur delà Villez-Dùe,
jouit de la métairie du Prest.
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DUROT,
?
En 1513, à Meillac, La Guychonnière à Gilles DUROT.
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DURAND,
D'azur au chevron
d'or, surmonté d'une fleur de lis, accosté de deux étoiles, et accompagné en
pointe d'une rose, le tout en or.
DURAND de la Feronnière, du Vaugaron, etc ... famille originaire de
Saint-Méloir-des-Ondes. La réformation De DOL, en
1513, cite Michel DURAND, élu commissaire pour le rapport des exempts de 1a
paroisse de St-Carné.
Pierre-Gabriel DURANT de la Garaudière, né en 1734 à Saint-Méloir, capitaine de vaisseau en 1775, à l'époque de son mariage à DOL,
avec Félicité BOUAISSIER.
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